Géographie de Syloë

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Statut : Monarchie Absolue
Capitale : Litech
Langue : Langue commune
Population : Humaine (60%), Nocturne (25%), Autres peuples (15%)
Blason : Un griffon impérial s'agrippant à un volcan


••• Politique, Commerce, Alliance
Anthropia est un royaume monarchique. Le roi est le seul à posséder le pouvoir de diriger, mais il laisse croire le contraire en s'entourant de conseillers qui ne sont là que pour faire figuration. Ceux qui siègent au conseil ne sont que des fidèles au roi et triés sur le volet. La succession se fait par le biais de la bénédiction des dieux et, depuis le règne de Ragmar, uniquement par la bénédiction de Magna. Antrhopia vit sous une politique serrée où, tant que l'on respecte les règle et que l'on voue sa loyauté au royaume, la population n'a rien à craindre. L'armée est présente partout pour prévenir à toute rebellion.

Anthropia est un des royaumes le plus indépendants de Syloë, et dont le commerce sert surtout pour de la denrée non périssable. Que ce soit tissu, matériaux de confection, ou autre, ils commercent avec les autres contrées malgré les tensions. Il n’y a qu’avec Valaliel où le commerce ne se fait pas vraiment. Il y a quelques temps, Anthropia favorisait le commerce maritime, mais celui-ci est souvent cible de piraterie alors depuis peu ils ont mis en place des routes commerciales plus sûres, cependant elles mettent un peu plus de temps.

Ils ont une alliance secrète avec Valaliel afin que le territoire elfique ne soit plus la cible d’attaque en cas de conflit et pour avoir un allié de taille. Ils espèrent une alliance avec Beorte, mais le gouvernement gatals a refusé toutes les demandes jusqu’à présent. De fortes tensions existent avec Seishin, Anthropia les accusant de pousser le mouvement rebelle des Larmes de Sang à agir et jalousant leur avancée suite à la séparation de l'Empire. De plus, le point de vue sur les nocturnes est sujet de discorde. Avec les sirènes, rien n’est possible, celles-ci refusant tout échange.


••• Culture et Attitude
Anthropia tente d’évoluer de manière individualiste, se croyant à la merci des autres royaumes. Ils jalousent l’évolution de Seishin, mais ils évoluent autrement de leur propre côté. Ils sont les premiers à accepter pleinement les Nocturnes au sein de leurs terres et s’ouvrent à la diversité ethnique. Les Anthropiens tentent d’amplifier la place de la magie dans leur société et vivent paisiblement malgré le côté strict du gouvernement.

La population vit dans une société plutôt patriarcale bien que la femme ait tout de même sa place dans des métiers dits « d’homme ». Ainsi, il n’est pas impossible de voir des femmes dans l’armée, même s’il est rare de les voir haut agradés. Cependant, religion est souvent portée par la parole féminine et chaque dieu y a sa place, bien que Magna soit prôné au niveau de la loyauté. La retranscription est beaucoup utilisée afin de transmettre aux autres générations. Une immense bibliothèque est même connue pour la richesse de ses ouvrages au sein de la capitale.


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Statut : Élitocratie religieuse
Capitale : Lyme
Langue : Elfique principalement, langue commune pour les étrangers
Population : Gatals (90%), Autres peuples (10%)
Blason : La lune couvrant le soleil lors d'une eclipse.


••• Politique, Commerce, Alliance
Beorte est dirigé par un conseil de quatre Grandes Prêtresses, symbolisant l’élément de leur créatrice, mais aussi les quatre éléments créés par Muna et Solis. Chacune représente l’un de ces éléments et si l’une d’elle venait à disparaître, elle serait succédée par l’une de ses disciples que chaque prêtresse forme. Le peuple des gatals est relativement libre dans leur mode de vie, à la condition de préserver les leurs et de ne pas attirer de conflits dans leurs royaumes. La violence n’est pas mal perçue, celle-ci étant même une prouesse de force et de valeur au sein de Beorte.

Bien que Beorte soit un royaume sousterrain, il s'agit d'une nation auto-suffisante. Les beortiens ont su adapter leur mode de vie à ce qui leur était possible d'avoir. Ils font des élevages d'animaux vivant dans des grottes afin de se nourrir de viande et certains ont su créer des plantations grâce à l'aide de la magie. Cependant, ils commercent tout de même afin de pouvoir consommer ce qu'ils ne peuvent faire pousser sous terre et afin de se procurer textiles et objets de totues valeurs. Ils commercent énormément avec les royaumes humains.

Leur plus grande alliance est celle tissée avec Seishin et quelques accords avec les sirènes. Consicérant Anthropia comme leurs ennemis, les contacts avec ce royaume ne sont que très mince et en lien avec le commerce. Par rapport à Valaliel, ils aimeraient établir de nouveaux liens, mais le conseil elfique refuse de négocier avec les diplomates de Beorte. Le royaume tolère la présence d'agent des Larmes de Sang, mais à la condition que ceux-ci ne porte pas préjudice aux Gatals. Ils n'aiment pas leurs manières de faire, mais leur présence est en lien avec l'alliance établi par Seishin, mais ils ne cautionne pas entièrement ce qu'ils font.


••• Culture et Attitude
Beorte est un royaume où l'on apprend à vivre à la rude. Les beortiens vivent constament dans la prénombre des cavernes et il est de coutume de s'entraider au sein des villes enfoui. Ils sont ouverts à la découvert et leur savoir se transmet beaucoup par l'oral. La croyance des Astres et des Elements a une place importante dans le royaume où rare sont les personnes rejetant la magie. D'ailleurs, ceux franchi ce pas sont rejetés par la société et considéré comme des hérétiques.

C'est un royaume principalement matriarcle. Les places au sein des monuments religieux ne sont réservées qu'à la femme. Les hommes ont cependant leur importance dans l'armée qui leur est plus facilement accessible. Tout le monde peut accéder à un métier "rude", tant que les volontaires prouvent qu'ils méritent leur place. Les beortiens ne sont pas fermés au monde exterieur, ayant, dans chaque grande cité, un accès au desert qui recouvrent leur monde sousterrains.


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Statut : Oligarchie
Capitale : Shank'ara
Langue : Langue commune principalement
Population : Chtonaki (95%), Léodrins (5%)
Blason : Un ouroboros


••• Politique, Commerce, Alliance
Chiya est dirigé par un conseil regroupant huit personnes. Tous des anciens, ils sont au nombre de quatre druides et quatre chtonaki, élus par proposition. Si l'un des membres sent la mort approcher, il peut proposer un successeur, mais si la mort le fauche avant, il en reviendra de la responsabilité des autres de le remplacer. Ce conseil est celui qui prendra toutes les décisions pour leur royaume, mais tous ne vivent pas dans la capitale. Lorsqu'ils ne se réunissent pas pour gouverner, ils ont chacun en charge un regroupement de village réparti sur l'ensemble des terres. Ils fonctionnent par vote après avoir débattu pour trouver la meilleure des solutions, mais bien généralement, l'unamité l'emporte. La magie est cependant bannie de ce royaume, seule l'alchimie est acceptée. Les exilés, bannis, ou tout autre personne demandant asile est la bienvenue tant qu'elle accepte de ne plus faire usage de magie.

Ce royaume ne commerce que très peu avec le reste de Syloë. Séparé par la mer, seul les navires peuvent servir pour le transport de marchandises. Mais pour tout ce qui est matière première, Chiya produit ce dont le peuple à besoin et ne sont importé que ce qui tient d'un certains luxe : tissus, matériaux et autres denrées non-périssables. Ils commercent avec tous les royaumes acceptant de commercer avec eux.

Chiya se tient à l'écart des conflits et béni l'océan pour lui permettre de n'avoir aucune obligation d'alliance avec le continent. Le conseil avait déjà reçu des missives pour rallier un camp, mais jamais ils n'ont répondu de façon positive. Pourtant, il est possible de dire que ce royaume tient une alliance avec les rescapés des terres de Guilora. En effet, les léodrins sont les seules à pouvoir fouler les terres de Chiya sans avoir cette obligation d'abandonner la magie. La seule condition est de limiter son utilisation afin de respecter la culture de cette terre d'accueil.


••• Culture et Attitude
Chiya est un royaume où une certaine forme de pacifisme règne. Son peuple n'est pas contre la violence, organisant même parfois des affrontements amicaux lors de festivités, mais les Chiyens refusent de s'engager dans des guerres dont ils ne trouvent aucune légitimité à leur existence. Ce peuple sait que la vie ne leur fera pas de cadeaux et que personne n'est épargné par le destin, mais les habitants de ces terres se plaisent à vivre d'une façon qu'ils considèrent différentes du continent. La mort n'est pas gratuite, elle se mérite, il faut se prendre des coups pour progresser, mais courir à l'annihilation pour une question de pouvoir ne fera jamais prospérer un peuple.

La magie est un sujet qui fâche pour les Chiyens. Ils refusent d'en entendre parler, mais seront toujours présent pour aider ceux qui veulent s'en débarrasser. Ils aiment se cultiver et explorer l'inconnu du savoir afin de toujours avoir un héritage pour les générations suivantes.

C'est un peuple individualiste mais solidaire. Ils sont fermés aux étrangers, mais jamais ils n'abandonneront l'un des leur. Seuls les léodrins ont su réveiller cette volonté de solidarité en évoquant un droit d'asile. La demande d'asile est certainement le seul moyen d'accéder à leur bienveillance lorsque l'on n'est pas originaire de ce royaume. La transmission de savoir est aussi une notion des plus importante sur Chiya. Tout doit se transmettre et la génération future sera celle qui sauvera le monde de sa propre destruction. Les anciens prêtent beaucoup de temps à l'instruction des plus jeunes.  


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Statut : Timocratie
Capitale : Ororea
Langue : Langue sacrée
Population : Léodrins (100%). Plus personne ne vit en ces lieux
Blason : Un corbeau faisant face à un croissant de lune


••• Politique, Commerce, Alliance
Guilora était auparavant un royaume où la royauté était une question d'honneur et non de sang. Des volontaires sont appelés lorsque l'un des dirigeants décède afin d'assurer la relève lors de "Jeux". Seul le ou la plus valeureux, pouvant prouver l'importance de l'honneur, autan en combat que sur l'intellect pouvait alors monter sur le trône pour ouvrir à un nouveau règne. Rare sont ceux ayant été à l'encontre de ce système, tout le royaume vivant dans cette notion de l'honneur. Il est même dit que jamais un Guilorien n'irait trahir les siens, sans quoi, il serait à damné le jour de sa mort. Cette royauté est proche du peuple, toujours à le pousser à se dépasser, mais sans injustice, créant un fonctionnement utopique.

Auparavant, le commerce de Guilora était connue et réputé pour les produits que pouvaient fournir ce royaume. Les Guiloriens commerçaient avec tous les royaumes, partageant leur savoir faire contre la matière première pour vivre. Bien que Guilora possède d'immenses plaines, tout ce qui relevait de la culture ou de l'élevage venait des royaumes voisins. Les Guiloriens comptaient surtout sur ce commerce pour vivre et ne pensaient pas à être maître de leur propre travail.

Les Guiloriens n'ont jamais vraiment forgé d'alliance par le passé. Ils ne se préoccupaient pas des conflits externes à leur peuple. Le seul accord passé avec les autres royaumes était un accord tactique. Guilora ne prenait jamais part aux conflits et en échange, jamais leur commerce ne s'arrêtait. Cependant, aujourd'hui, les choses sont différentes. Avec leur quasi-extinction, les Guiloriens ont mis sur pied une alliance avec les Chtonaki. Un droit d'asile en échange de leur savoir faire, leur permettant ainsi de survivre.


••• Culture et Attitude
Bien que l'honneur soit des plus importants pour les Guiloriens, ils ne sont pas toujours en quête de prouver qui est le plus valeureux. C'est un peuple qui aime prendre le temps de vivre et laisser libre court au destin. Ils aiment mettre en place des festivités afin de vénérer les dieux ou quelconques évènements ayant son importance et, lorsqu'ils le faisaient, elles étaient toujours mémorables. Parfois, des duels étaient organisés entre Guiloriens audacieux et une règle était toujours de mise. Jamais la mort devait être une finalité à ces duels, la clémence étant des plus importants et le peuple devant constamment se rappeler l'importance de la vie. Windy leur en avait fait don, il n'était pas de leur ressort de s'amuser à la prendre.

Certains trouvaient les Guiloriens comme étant un peuple prétentieux qui prenait les autres de hauts. Cette image était fausse de leur point de vue, mais l'image qu'ils donnaient malgré tout était celle-ci. À ne pas vouloir se mêler des autres, beaucoup les ont vu comme n'ayant que faire des autres royaumes, comme si seul le leur comptait. Et ce n'était pas entièrement faux. Guilora ne se mêlait qu'aux autres lorsque le commerce lui était favorable. Pour tout ce qui était problèmes politiques, conflits, et autre faits l'intéressant peu, Guilora montrait son peuple comme indisponible aux autres royaumes. Mais entre eux, la bienveillance avait toujours été de mise et le manque de celle-ci était bien d'ailleurs punis par leurs lois.


••• Destruction
Date : 7ème cycle lunaire de l'an 2051
Bien que Guilora ait été un royaume florissant, celui-ci n'est plus que ruines et désolation depuis cent trente-deux ans. Plus personnes n'habitent désormais ces terres qui a vu la disparition d'un peuple. Alors que les léodrins vivant à Guilora était en pleine festivité à travers le royaume, une attaque de Nocturne a ravagé cités et villages. Cette nuit fut celle d'un véritable massacre dont qu'une infime partie des Guiloriens purent réchapper. Les survivants purent prendre la fuite par la mère où ils trouvèrent refuge à Chiya. Rare sont ceux revenus sur le continent depuis et les naissances sont des plus exceptionnelles et choyées.


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Statut : Monarchie faussement parlementaire
Capitale : Aguamelial
Langue : Langue commune
Population : Humaine (40%), Autres peuples (60%)
Blason : Un phénix, les ailes déployés


••• Politique, Commerce, Alliance
Seishin est dirigé par une royauté parlementaire. Bien que le roi soit au-dessus de tout, un parlement a été mis sur pied, mais tout ceci n'est réellement qu'une mascarade. Depuis la séparation de l'Empire, le Parlement avait un réel rôle par le passé, mais au fil des ans, celui-ci s'est amoindri et il sert désormais à donner une bonne image à Seishin, tandis que le roi gouverne comme il le désire. Le pouvoir se transmet de père en fils, soit par abdication, soit par héritage après la mort du roi. Si le roi n'a pas d'héritier direct, alors la transmission se fait à l'une des branches de sa famille. Une femme ne peut gouverner sans roi à ses côtés, à moins de devenir reine régente le temps que le prince atteigne la majorité. Du côté du peuple, il vit de façon paisible, bien que l'ombre de la guerre continue de planer. Ils ne savent pas quand la paix éclatera, ne pouvant qu'écouter les rumeurs pour apprendre ce qui se fait. Cependant, bien qu'ils restent dans l'inconnu de ce qu'il peut se passer, ils font confiance à leur roi et ne cherchent pas à mettre sur pied une rébellion.

Le royaume pourrait vivre sans le commerce des alentours. Le peuple possède du bétail, des cultures, la pêche, mais de par la proximité des montagnes, le commerce devient obligatoire durant les saisons sèches et froides. Dans ce cas, le principal commerce se fait avec le royaume de Beorte, mais aussi avec celui d'Anthropia, bien que la situation soit complexe avec ce dernier. Les routes commerciales sont majoritairement maritimes pour plus de faciliter.

L'allié principal du royaume de Seishin était Beorte fut un temps. Ce royaume possède toujours un important accord, mais il en existe désormais un plus important avec le peuple des sirènes. Un mariage s'apprête à être scellé entre le roi de Seishin et l'héritière de la mer Disyël, appuyant ces accords. Il n'y a cependant aucune alliance avec Valaliel et Anthropia. Bien au contraire pour ce dernier, des tensions hostiles perpétuent malgré les années.


••• Culture et Attitude
Le peuple de Seishin fait partie de ceux qui ont le plus cherché à évolué une fois l'Empire dissout. Ils arrivent facilement à s'adapter et aiment approfondir leur culture. Les questions ont leur place tant que l'on cherche les réponses. Le savoir est une chose qui se partage et nombreuses sont les bibliothèques à Seishin. Tout est mis sur manuscrit et il est mal vu de ne savoir ni lire et écrire. L'ouverture d'esprit est quelque chose de prôné, bien que cette notion soit ironique pour ceux qui savent que les habitants de ce royaume rejettent en grande majorité les Nocturnes.

C'est un peuple qui a dû mal à pardonner alors qu'ils donnent l'illusion du contraire. Seishin aime jouer sur les apparences. Tout est fait pour que la partie pauvre du royaume reste cachée aux yeux de tous, laissant apparaître fioriture et richesse. Ce royaume aime d'ailleurs festoyer afin de montrer le côté positif de leur vie, laissant bien souvent les tensions de côté. Ils ne rechignent pas à aller au combat, mais préfèrent agir dans l'ombre pour tout ce qui concerne les conflits et querelles entre royaumes. Ils sont fiers de ce qu'ils sont devenus et n'hésitent pas à le montrer.


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Statut : Conseil restreint
Capitale : Elda
Langue : Elfique
Population : Elfes (100%)
Blason : Un cerf feuillu


••• Politique, Commerce, Alliance
Valaliel est un royaume dirigé par un conseil elfique où siègent cinq représentants. Ces cinq personnes sont généralement d’anciens combattants et sont forcément de la race des elfes. Aucun étranger n’est autorisé à siéger dans ce conseil qui était auparavant le conseil de l’empire de Syloë. Ce sont eux qui ont décidé de fermer leurs frontières aux autres et ne laissent pas le peuple influencer leurs décisions. Ils sont intransigeants dans leurs choix et ils n’hésitent pas à sanctionner lourdement quand une faute porte préjudice à Valaliel. Les représentants de ce conseil n’ont encore jamais été changé depuis la fin de la guerre ayant détruit l’empire. Ceux tombés lors des derniers combats ont été remplacés par des personnes choisis par les membres restants du Conseil et sont tous des elfes relativement âgés. L’expérience est de mise pour siéger afin d’avoir vu de nombreuses facettes de l’Histoire. Il est interdit d’aller à l’encontre du conseil est le faire est risque de bannissement du royaume elfique. Cependant, bien que le conseil semble gouverner d’une main de fer, les elfes sont relativement libres de vivre tels qu’ils le souhaitent tant que cela ne va pas à l’encontre de la paix de Valaliel.

Valaliel ne commerce plus avec les autres royaumes, ou du moins, c’est ce que laisse penser le Conseil. Les frontières sont officiellement fermées et les elfes vivent de leur propre production, chasse et création. Ils semblent indépendants des autres royaumes, mais une denrée est pourtant exportée depuis Anthropia, avec qui un accord secret a été signé. Valaliel fait importer de l’eau-de-vie, afin de pouvoir créer leur alcool si prisé par les elfes. Cette boisson est la seule où un autre royaume est sollicité. Pour tout le reste, le peuple de Valaliel à appris à vivre sans dépendre des autres royaumes et reste ainsi reclu dans leur forêt.

Officiellement, aucune alliance n’existe entre Valaliel et les autres royaumes. Un accord de non-agression existe en cas de conflit, mais celui-ci a simplement été verbalisé lorsque le Conseil a retiré son royaume de la guerre. Les elfes n’intervenaient plus et, en contre partie, nulle armée ne devait franchir leur frontière. Depuis, plus aucun étranger n’est accepté dans les forêts elfiques et les rares à s’être fait prendre ont été enfermé avant d’être expulsé à la frontière ou avant de disparaître. Mais une alliance secrète existe avec Anthropia, allant plus loin que le commerce d’alcool. Ragmar et le Conseil ont officialisé une paix entre eux et, en échange de la protection des humains en cas d’attaque, le roi Ragmar aura la possibilité de demander aux elfes de fournir leur prisonnier le jour où il aurait besoin de créer plus de nocturne pour son armée. Personne n’est au courant de cet accord qui pourrait être vu comme une trahison pour certains.


••• Culture et Attitude
La culture de Valaliel est avant tout une culture orale et artistique. Ils ont abandonné les armes pour vivre une vie paisible et cette paix est prônée par beaucoup. Bien que certains puissent y voir de la lâcheté, ces elfes ne sont qu’une minorité et leur voix sont étouffées par le Conseil qui ne montre que les avantages de cette vie. Un endoctrinement pour éviter une quelconque rébellion, et le Conseil n’hésite pas à retourner les accusations contre ceux les proclamant pour les décrédibiliser.

L’art à une place importante à Valaliel et les éclipses solaires sont vénérées par des festivités grandioses et sans égal. Le peuple de la forêt apprécie avant tout la musique et la danse et partage aux plus jeunes ces connaissances qu’ils ont. Bien que l’homme soit considéré comme plus important que la femme, les talents de ces dernières sont reconnus dans le domaine de l’art. Les traditions se passent bien souvent par l’oral et il n’existe que peu d’écrit au sujet du passé de Valaliel. Il est important pour les jeunes de bien connaître l’histoire des leurs et de respecter les anciens. Ils ont un statut important et remettre leur parole en cause est une insulte.


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Statut : Dictature matriarchale pacifique
Capitale : Ondine
Langue : Langue commune
Population : Sirènes (95%), Néréides (5%)
Blason : Un léviathan associé au kraken


••• Politique, Commerce, Alliance
À première vue, le royaume aquatique est dirigé par une monarchie d'une justesse sans égale. Sous l'ombre de la politique, le pouvoir est tout autre, mais le peuple vie en harmonie avec. Depuis maintenant des siècles, une dictature est sur place, où la femme est à la tête du pouvoir. Auparavant basé sur le même fondement que Anthropia, une reine à fini par prendre le pouvoir en exécutant son époux et, depuis, la lignée royale se transmet de mère en fille et l'homme n'a aucun pouvoir en ces lieux et à chaque fois qu'il y a eu une tentative de revendication de la part de l'un d'eux, cela s'est toujours fini par un mort. Il est dit que la reine possède un lien spécial avec le Léviathan et qu'elle serait l'unique personne en dehors des Néréïdes et Suí a pouvoir le sortir de son sommeil. Ce lien serait la preuve de la bénédiction de leur déesse sur la femme la plus élevée de ce peuple.

D'un point de vue ressource, le peuple aquatique étant l'unique peuple vivant sous les océans, ils n'ont pas besoin des ressources des autres royaumes. Nul commerce ne pourrait avoir lieu, mais la mer n'offrant pas les métaux nécessaire à l'armement et les navires ne coulant pas de façon régulière, des accords commerciaux ont été mis en place afin d'offrir un armement aux défenseurs de ce royaume. D'ailleurs, cette ouverture commerciale a permis aux autres royaumes de découvrir les merveilles de leurs trésors et les produits de cette mer sont très prisées par les marchands.

Depuis l'organisation de fiançailles avec Seishin, une forte alliance est soudée avec ce royaume. Et de par les alliés de Seishin, le peuple aquatique fait des efforts envers Beorte. Cependant, face aux autres royaumes, les sirènes ne daignent pas prêter attention, préférant afficher un air détaché de tout. Ce peuple ne se souci que trop peu des conflits terrestre, pouvant à tous moment décider de ne plus quitter leurs océans.


••• Culture et Attitude
Le mode de vie de ce peuple repose avant tout sur l'harmonie lié à l'océan. Ils vivent au rythme de leurs envie et ils sont avant tout pacifique et passif. Ils ne cherchent pas à provoquer le changement, attendant que celui-ci se fasse. Contrairement aux autres royaumes, même s'ils ont la notion de la monnaie, ils pratiquent le troc, bien souvent par le biais de coquillage et trésors trouvé en profondeur. Leur but n'étant pas d'être le plus riche, mais de partager avec leurs compères. Leur habitat reste des plus simples. Elles vivent dans des navires coulés et réaménagé et leur palais se trouve d'ailleurs dans un immense bateau coulé, transformé depuis lors en un somptueux château aquatique.

Cependant, même s'il s'agit d'un peuple pacifique, il n'en reste pas moins dangereux de provoquer une sirène. Elle reste au fond une créature puissante des mers et peut devenir un véritable monstre des océans pour protéger les siens. Les sirènes vivent déconnectées de la réalité et selon leur propre philosophie. Parfois, une discussion avec l'un des représentants de ce peuple peut relever d'un véritable jeu d'esprit. Étrangement, alors que ce peuple ne se soucie que trop peu des autres royaumes, il prône le partage et l'entraide.


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Le territoire des sirènes s'étend à toute la mer Disyël.